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Arles, 12 septembre 2015 |
Tout texte, comme toute législation et toute "vie", est ainsi ouvert à un avenir irréductible et imprévisible qui compliquera toujours ce que Rousseau appelle la destination du texte en y introduisant la destinée. Cette destinée apporte toujours le faux et le simulacre, ce que Rousseau appelle la défiguration, et nous la lecture. Rousseau croit, littéralement in extremis, que le hasard peut révéler la vérité, refaire une destination providentielle d'une destinée: nous, qui croyons au hasard, savons que la structure catastrophique de la scène de la signature interdit une telle révélation apocalyptique. Galilée, 1991.p. 135.,
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